Violences policières contre les enseignants contractuels : l’affaire se politise
Alors que les syndicats de l’Éducation nationale veulent prolonger la protestation sociale, l’affaire prend un tournant politique. Un courrier signé Aicha Balak, présidente du groupe parlementaire du PPS, demande la convocation d’une réunion “dans les plus brefs délais”, en présence du ministre de l’Intérieur Abdelouafi Laftit, pour venir répondre de la dispersion violente des manifestations des enseignants contractuels les 16 et 17 mars. Au sein des syndicats, cette réaction violente a dopé la poursuite des marches et des sit-in pour cette semaine. Affilié à la Confédération démocratique du travail (CDT), le Syndicat national de l’éducation (SNE) a lancé un appel à toutes ses fédérations pour une grève nationale de trois jours.
“Semaine de colère”
Dénommée la “semaine de colère”, cette nouvelle série de marches devrait se tenir les 22, 23 et…
var eventMethod = window.addEventListener ? « addEventListener » : « attachEvent »;
var eventer = window[eventMethod];
var messageEvent = eventMethod === « attachEvent » ? « onmessage » : « message »;
eventer(messageEvent, function (e) {
if (e.data && e.data.match(/btn-click/) || e.message && e.message.match(/btn-click/)){
btnName = e.data.replace(‘btn-click-’, »);
ga(‘gtag_UA_43730023_1.send’, ‘event’, ‘btnClick’, btnName, location.href);
sendinblue.track(‘btnClick’, {
‘btn’: btnName,
‘url’: location.href,
});
Cookies.set(‘__tq_btn’, btnName);
Cookies.set(‘__tq_post’, location.href);
}
});

Pas de commentaires pour cet article “Violences policières contre les enseignants contractuels : l’affaire se politise”